lundi 12 octobre 2015

LES TENDANCES DE LA RENTREE 2015


LES TENDANCES DE LA RENTREE : Remplissant sa fonction de « INFO/CONSOMAG », la FNAF CGT vous aide à préparer votre rentrée en vous dévoilant les « must-have » de l’automne 2015.



1)    Le jeûne, nouveau régime

Noël 2015, les régimes seront beaucoup plus draconiens que Noël 2014. Ainsi en a décidé le secrétaire CFDT du CE Paris & rattachés : « la vente des produits terroirs par l’élue FNAF CGT, c’est n’importe quoi… Trop de produits commandés et stockés dans les armoires… Le CE n’a pas vocation à devenir un garde mangé, etc. ».
Un grand merci au secrétaire qui semble se préoccuper de votre santé ?! Grâce à son autorité, plus de gluten, bien sûr, plus de gras, cela va de soi. Mais, ce n’est pas assez, il semble accentuer le « non » systématique quand les élus FNAF CGT lui parlent de produits du terroir ou plutôt le « sans »… Il s’agirait donc, de vous priver de mauvaises choses comme le sucre (ça se transforme en graisse) ; le sel (ça donne de l’hypertension) ; la graisse (ça bouche les artères).  Il est désormais temps d’arrêter de manger n’importe quoi ! Abandonner la vente des produits terroir par les élus de la FNAF CGT (qui ne respectent pas votre équilibre)  et accueillir le jeûne des élus CFDT (qui vous promettent de saines habitudes).  

2)    Louez dès maintenant tous nos livres parascolaires et achetez des cours de soutien
 
      Vous voulez que vos enfants réussissent ? Très simple, sortez le carnet de chèque et achetez quantité de livres parascolaires ou des cours de soutien pour vos chérubins. … Car les élus CFDT et  CGC n’ont pas voulu reconduire le prêt aux livres ni répondre favorablement aux cours de soutiens scolaires gratuits, proposés par les élues FNAF CGT… Bon sang mais c’est bien sûr. Pourquoi, les salariés s’acharnent-ils à vouloir posséder des livres ou des services du CE quand ils peuvent les acheter ou les louer entre eux ? L’économie du partage des objets domestiques est une vraie nouvelle idée pour les élus de la CFDT et la CGC. D’ailleurs l’usage d’internet permet des choses remarquables, notamment donner plus à ceux qui ont déjà tout et permettre aux autres de partager le (leur) reste.
 
3) Budget de formation 

Comme on ne change pas une équipe qui gagne, les élus de la CFDT ont de nouveau
formé une coalition avec les élus CGC pour prendre la FNAF CGT comme cheval de bataille et l’enfourchant, panache au vent… Il pourfend les méchants qui veulent se mettre au même niveau de connaissances que la direction des ressources humaines pour assurer la qualité de leurs actions et la défense des intérêts des salariés.
Ils ont donc, ressorti du placard, tout le bric à brac, de clichés hostiles pour leur refuser une formation économique et juridique qui devait se dérouler à Marseille.
A Marseille, « con ! »… Ce mot « naturel » a été prononcé malencontreusement, par un élu FNAF CGT qui se prenait à espérer une écoute indulgente de la part des élus CFDT et CGC. Il peut rêver car ça été refusé, comme il avait déjà été refusé d’équiper les élus d’un portable. Et oui, il ne s’agit pas d’obtenir les mêmes moyens que la direction ni de prendre de mauvaises habitudes  ni d’adopter un langage charretier dans un monde aussi conventionnel que celui du CE Paris & rattachés.
Pourtant, la sérénité liée aux connaissances de la législation, le temps de se former et de réfléchir à ses pratiques, les moyens de préparer les réunions de qualité sont nécessaires pour défendre les intérêts des salariés et le CE dispose d’un budget de fonctionnement conséquent pour ça (réserves 219 123 € + budget de 30 525 € environs)… Ils jugent plus urgent de dépenser de l’argent dans la réfection d’un local CE (ce montant nous a pas été communiqué à ce jour) qui est appelé à disparaitre dans un an ou deux, à cause du déménagement du siège ?!
Ils ont promis de gouverner les instances du CE et CCE pour 4 ans, sont le temps normal de leurs mandats. Mais rien n’est moins sûr… Car, une audience est prévue au Tribunal d’instance, le 16 octobre prochain pour entendre les avocats de l’employeur (défenderesse) et de la FNAF CGT (demanderesse) qui contestent (les vilains) le déroulement des élections professionnelles 2014… Nous vous informerons de la suite donnée par le délibéré… Nouvelles élections ou pas en 2016 ? On les sorts ? Chiches !

Les représentants du personnel FNAF CGT

Site Internet - http://cgt-invivo.blogspot.com    

  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3)   

 

 

mardi 25 août 2015

La CFDT est pour le changement qui ne change rien à votre pouvoir d’achat


La CFDT est pour le changement qui ne change rien à votre pouvoir d’achat (réponse à leur tract NAO 2015 sur les salaires)

 

Pour vendre sa signature, la CFDT fustige les résistants au changement. Ils prétendent avancer et lutter contre l’immobilisme chronique d’un certain syndicalisme (la C.G.T. sans jamais la nommer). Une bataille opposerait donc, les progressistes, partisans de la réforme (cools, modernes) des élus du passé (hommes des cavernes qui sentent le rance) crispés sur leurs vieilles idées (qui ont lutté pour la liberté de se réunir, les congés payés, la réduction du temps de travail, etc.).

Quel camp avez-vous envie de rejoindre ? Celui de la préhistoire ou des réformistes ?

« Le problème de la C.G.T. c’est qu’elle place la barre trop haute pour ne pas adhérer aux propositions (insuffisantes) de l’employeur, pour avoir le plaisir de dire, NON »

Surprise ! C’est un discours vieux de plusieurs décennies qui sort de la bouche des patrons et repris par d’autres organisations syndicales avant eux !

Le problème, c’est que ces discours sur le progrès ne progressent pas… Et vos augmentations collectives sont sacrifiées sur l’autel du progrès ! Un progrès qui profite à l’employeur qui déplace toujours davantage le curseur du partage et réduit d’autant les besoins socialement reconnus du salaire pour augmenter le taux d’exploitation en faisant pression sur les salaires, en exigeant des réductions de charges, en réclamant des exonérations fiscales, en renvoyant des dépenses de santé ou d’éducation à la sphère privée. Soit en tentant de rallonger le temps de travail (forfait jours, recul de l’âge de la retraite, etc.). Soit en intensifiant le travail (multiplication des missions, gestion par le stress, la chasse au temps mort, etc.). Et en jouant la plupart du temps sur les deux à la fois.

Le progrès est-il toujours un progrès ? Et en vertu de quelle règle, l’ancien deviendrait-il haïssable ?

Si le progrès passe par la suppression des augmentations collectives, est-ce certain que le progrès en soit un ?

Alors voilà, poussez du petit bois, 0.10% sur les Augmentations individuelles (que l’employeur aurait appliquées unitéralement, sans l’accompagnement des syndicats) +0,50€ sur le ticket d’admission, (même pas le prix d’un café !) et se comparer aux entreprises qui gèlent les salaires pour justifier leur signature, n’est pas forcément synonyme de progrès. Enfin, il est illusoire de penser que les syndicats ont un droit de regard sur les augmentations individuelles dont la rotation reste un mystère. La fiabilité des réponses repose uniquement sur la sincérité du Dirigeant. Depuis quelques années, le bilan social ne donne plus le montant global des promotions perçues par catégorie socio-professionnelle. Et si l’on doit se baser sur la seule indication connue : 1 salarié sur 10 en moyenne bénéficie d’une évolution de carrière… (Par conséquent, il faudrait 37 ans en moyenne, pour que 600 salariés, bénéficient d’une promotion de carrière ?!)

PROMOTIONS comparées H/F s/effectif permanent (changement de coefficient)
années
Hommes
Nbre promo
taux promo
Femmes
nbre promo
taux promo
2012
322
22
7%
268
25
9%
2013
328
28
9%
284
30
11%
2014
321
28
9%
263
30
11%
Bilan 2014 CE "Paris et rattachés"

 C’est pourquoi, il peut être rationnel d’exprimer des résistances au changement, si il est associé à une politique de rémunération d’approximation, d’opacité et de discrimination pour les salariés…. Une fois de plus la redistribution des profits est inéquitable et bien loin des attentes et des besoins des salariés qui doivent faire face aux augmentations du coût de la vie.

Les dividendes 91M€ (évolution +12%) issus des bénéfices sont un coût pour l’économie de notre entreprise. Ce coût est en réalité un prélèvement sur les richesses créées par votre travail. D’ailleurs il est nettement supérieur à l’investissement  du groupe InVivo et pèse sur ce dernier (38M€ -24%). Il dépasse également la somme des cotisations sociales employeur 69M€ (-6%). Cette politique salariale très austère, n’est pas en adéquation avec la situation des activités au sein de l’entreprise qui gagnent de l’argent. C’est pourquoi, nous défendons les augmentations collectives de salaires et des choix favorables au développement des capacités humaines, et non à la rentabilité des capitaux privés.  

La FNAF-CGT INVIVO a besoin de votre soutien. Rejoignez nos rangs en vous rapprochant de vos élus.

Ensemble, luttons pour arracher des augmentations à la mesure de vos efforts.
Les représentants du personnel FNAF CGT

Site Internet - http://cgt-invivo.blogspot.com    

 

 

vendredi 5 juin 2015

Invivo NSA pris dans le tourbillon de la mondialisation marchande


Invivo NSA pris dans le tourbillon de la mondialisation marchande.

On voit ainsi réapparaître les anciens marchés boursiers d’EVIALIS avec ses nouvelles versions réactualisées en capital/investisseurs, prêchées par des cadres dirigeants qui prétendent dissoudre les antagonismes sur les valeurs de la coopération agricole dans l’intérêt de son évolution dans le monde. Ces philanthropes de la coopération agricole nous vantent les fabuleux retours sur investissement sans les licenciements et les délocalisations avec en prime les prouesses du CAC 40 sans le chômage. Ils voudraient convaincre les « salariés » que les « dirigeants » ne transforment la forme juridique et financière que pour leur bien.

Avant tout, un investisseur s'intéresse au potentiel de croissance du chiffre d'affaires et des résultats de votre entreprise dans les trois à sept années à venir
Un capital-investisseur, quant à lui, tire l'essentiel de ses profits de la revente de ses participations avec de fortes plus-values, à un horizon allant grosso modo de trois ans à sept ans. Il ne soutient par conséquent que des entreprises dont il estime qu'elles ont de fortes perspectives de croissance de chiffre d'affaires et de rentabilité sur cette durée.

Deux autres caractéristiques à prendre en compte : en premier lieu, le capital-investisseur exige souvent d'avoir son mot à dire dans la gestion de l'entreprise ; Ensuite, le processus de recherche d'un tel partenaire et de contractualisation d'un accord avec lui, revêt une complexité beaucoup plus grande que la mise en place d'un emprunt bancaire à moyen terme.

Ces précisions ne semblent pas effrayées les directeurs de coopératives, siégeant au CA InVivo  qui dans la quête d'un partenaire en fonds propres ne voient que les avantages majeurs à ce pacte d’actionnariat :
-        la société peut y glaner un montant de fonds propres sans commune mesure avec ce que ses dirigeants ou leurs proches sont susceptibles d'apporter ;

- le capital-investisseur apporte une aide réelle dans la gestion, qui peut se révéler vitale dans les cas (pas si rares) où le chef d'entreprise souffre de lacunes dans ce domaine ;

- l'expérience montre que la pression des actionnaires extérieurs incite toute l'entreprise à l'excellence ; (Il faudra reverser entre 20 à 30 % de dividendes chaque année ont-ils déclarés)

- et enfin, les fonds propres engrangés améliorent la structure financière de la société, lui permettant, si elle avait atteint son niveau maximal d'endettement, de solliciter à nouveau des crédits bancaires ;

Une rupture avec les mécanismes sociaux antérieurs

Qui dit investissement privé dit aussi concurrence entre les capitaux et les capitalistes : la concurrence contraint chaque capitaliste à faire croître son capital sous peine de faire faillite ; d’où une course sans fin à la recherche du profit ; un processus permanent d’autovalorisation.

Le commerce lointain approvisionne les coopératives et procure des profits très élevés mais assortis de risques considérables. Ce mode d’enrichissement fondé sur l’agriculture intensive et l’échange inégal conduit à l’opposition de notre économie nationale qui serait une économie de marchés concurrentielle.

Le capitalisme contemporain se montre de moins en moins capable d’intégrer les besoins humains et environnementaux. Il conduit à l’éviction de certains besoins essentiels : mieux vaut ne pas produire ou investir si cela doit conduire à une moindre rentabilité.

Nous insistons sur ce qui ne doit et ne peut pas vraiment, sous peine de graves dysfonctionnement sociaux, être bradé sur l’autel du profit : l’emploi et la qualité des matières premières.

D’ailleurs, n’ont-ils pas déjà commencé par condamner le site SFNPS de Vannes qui emploie 25 salariés ? N’ont-ils pas dénoncé l’Accord 35h00 Union InVivo pour les activités InVivo Labs ? Ne cherchent-ils pas à obtenir l’abandon des avantages et garanties collectives de la Convention V branches pour couvrir tous les salariés de ces activités par la Convention MEUNERIE ? Sachez que vos cadres dirigeants ne sont pas concernés par ces derniers changements. Ils ont pu conserver des privilèges et garanties prévoyance santé, mais aussi retraites complémentaire et supplémentaire 1,24% CCPMA, en intégrant  une HOLDING PIVOT, faite sur mesure.

Que faire… Petit mode d’emploi :

Pour vous défendre, pour conquérir des droits nouveaux, pour vous donner les moyens, pour faire avancer vos revendications, il est indispensable d’avoir un-e délégué-e syndical-e- et des délégués-e du personnel sur chaque lieu de travail.
Discuter partout du contenu et des aspects qui doivent encore évoluer. Nombre des revendications des personnels n'ont pas été satisfaites durant les négociations passées.

La CGT est la seule organisation syndicale à avoir la volonté d’arriver à obtenir un véritable statut du personnel et des garanties collectives.

Vous voulez militer syndicalement et vous voulez connaître vos droits ? Rejoignez-nous et constituez avec nous une liste aux prochaines élections professionnelles d’INVIVO NSA.

Yves BARON - Délégué syndical central - 06-75-80-64-27



mardi 3 mars 2015

L’employeur instrumentalise les élus CFDT pour faire main basse sur les subventions du CE Paris

L’employeur instrumentalise les élus CFDT pour faire main basse sur les subventions du CE Paris

L’employeur a présenté un projet sur la mise en place d’une « conciergerie » au siège InVivo, dont le poste serait situé à la réception du bâtiment et occupé par un salarié, recruté auprès d’un ESAT.
N’ayant pas présenté d’études sur les habitudes de consommation, les besoins, les comportements des salariés ni démontré l’utilité de ce service… Pourquoi le CE financerait-il le projet à l’aveugle ? 

Les élus FNAF CGT s’interrogent sur les réelles motivations de la direction des ressources humaines face à ce projet : améliorer son image en recrutant un travailleur en situation d’handicap ? Ce n’est pas suffisant !

La question du handicap doit être pensé au travers de la prévention et des questions posées tout au long de la vie professionnelle par la mise en place de dispositifs spécifiques : La formation pour une reconversion des salariés actuellement en attente de reclassement, suite à un accident du travail ou l’aménagement de structures (et lieu) afin d’améliorer l’accès aux travailleurs en situation d’handicap.
Malheureusement, les élus FNAF CGT ont pu constater trop souvent, un manque de budget et d’initiatives pour la réintégration des salariés, confrontés à des situations d’handicap au cours de leur carrière professionnelle au sein de notre entreprise…

Budget du CE revu à la baisse : RETRAIT DE 50 € SUR VOTRE CREDIT LOISIR
Là encore, les élus FNAF CGT réprouvent toute notion de discrimination et n’encouragent pas les inégalités entre les catégories socio-professionnelles en s’opposant au retrait de 50 € du crédit loisirs pour financer les prestations, telles que «nettoyage du tailleur au pressing… Lavage de voiture au parking…Faire ses achats dans les commerces à proximité du 16ème arrondissement »… Projet dont la formule se situe exclusivement à Paris, sans proposer son équivalent sur la province.
Nous estimons que le CE n’a pas vocation à soustraire une partie du crédit loisirs pour rembourser la valeur du service délivrée aux salariés parisiens, via la conciergerie.
En revanche, nous demandons la réintégration des 50 € car nous croyons utile de renforcer le volet social du CE en permettant au salarié d’élargir l’utilisation de son crédit loisirs de 150 € comme bon lui semble, peu importe sa situation géographique.
                ►Concernant les bons d’achat ou cadeaux, la lettre ministérielle du 12 décembre 1988 a posé une présomption de non assujettissement de l’ensemble des bons d’achat et cadeaux, attribués à un salarié au cours d’une année civile, lorsque le montant global de ces derniers n’excède pas 5% du plafond mensuel de la Sécurité sociale, soit 159 euros pour l’année 2015. En bref, l’utilisation du bon d’achat doit être déterminé et en lien avec un évènement pour lequel il est attribué et son montant conforme aux usages de l’URSAFF… Il suffirait donc, d’aligner la distribution avec un évènement pour répondre à la demande des salariés de consommer sous forme de bons d’achat plutôt que de limiter leur choix aux bons culturel et/ou chèques vacances.

Investissement dans un nouveau local : Les élus FNAF CGT ne signent pas de chèque en blanc sans avoir pu examiner le plan de rénovation (surface, emplacement, etc.). La pratique (non respectée par l’employeur) veut que le CHSCT soit consulté sur la facilité d'accès du lieu pour le personnel la surveillance et l'entretien des locaux et tous ce qui justifient le déplacement et l'implantation du local au sein de l'entreprise (pour éviter de se retrouver dans un placard à proximité d’un local poubelle, comme par le passé).

L'embauche d'un salarié à temps partiel au CE :
Les élus soumettent la distribution des billetteries à un site WEB, la rédaction des PV à un organisme privé et bénéficient d’heures de délégation qu’ils peuvent se répartir entre eux pour ouvrir les permanences et faire vivre les activités du CE.
Alors, la disposition est-elle bien adaptée ?
Tout d’abord, toutes ces prestations extérieures ont un coût et cette rémunération supplémentaire, sera prélevée en partie sur votre budget culturel et social.
Ensuite, doit-on encourager l’embauche d’un temps partiel qui conduit à une situation que l'on peut qualifier de précaire pour le salarié recruté ?
A contrario, les élus FNAF CGT privilégient la relation de proximité entre les élus et les salariés afin d’être à leur écoute, de coordonner et de promouvoir les réalisations sociales avec eux et pour eux.

Souvenez-vous dans le tract CFDT de la campagne électorale : ils critiquaient la rédaction des PV de réunions CE quils décrivaient « interminables et trop complexes ». Depuis, non seulement la prise de note est restée inchangée mais les comptes rendus ne sont pas communiqués par le secrétaire en temps et en heures pour leur approbation aux réunions CE. Ce qui constitue une anomalie pour ne pas dire une entrave, dans le fonctionnement du CE.

Vente de produits terroir 
Rappel : Ce projet soumis en novembre 2014 aux élus CFDT et CGC, désireux de réviser toute initiative antérieure des élus FNAF CGT, a été reporté en 2015.
Les élus FNAF CGT ont dû, pour respecter leurs engagements auprès des équipes GAMM VERT et de leurs fournisseurs, dupliquer les bons de commandes avec les moyens du bord, et passé outre l’interdiction du Président et du Secrétaire de photocopier sur le budget du CE ; ce qui a conduit à limiter la proposition de ventes de Noël aux seuls salariés du siège.
Il semblerait, depuis, que les élus CFDT et CGC soient revenus à de meilleures dispositions, en autorisant le 18/02/2015, l’élargissement de cette opération à tous les salariés du périmètre du CE Paris et de prendre en charge les frais d’expédition sur les sites qui lui sont rattachés.

Volet économique et professionnel 
Souvenez-vous dans le tract CFDT de la campagne électorale : « Le CE ne semble pas réellement impliqué dans la vie économique de l’entreprise. Son rôle semble se limiter à l’acceptation ou au refus des propositions de la Direction alors qu’il devrait être acteur, etc. » 
Pour autant, tous les projets soumis par l’employeur, y compris la construction des «Holdings métiers », ont été validés dans les quinze jours ou le mois qui suivaient leurs présentations au CE et CCE par les élus CFDT, majoritaires dans toutes ces instances.
Ils ont également levé le droit d’alerte de l’activité des MARCHES le mois qui suivait leurs élections : «Il faut faire confiance à l’employeur ou il faut leur donner une chance de réussir, ont-ils conclus ?!»… Alors que les élus FNAF CGT réclamaient une expertise comptable pour se mettre au même niveau d’informations financière et commerciale que l’employeur et ainsi avoir une vue pleine et entière de la situation de l’activité avant d’exprimer un avis.

Croyez-vous encore au possible changement promis par les élus CFDT ?
  
La FNAF-CGT INVIVO a besoin de votre soutien. Rejoignez nos rangs en vous rapprochant de vos élus. Ensemble, luttons pour arracher des améliorations de travail à la mesure de vos efforts.
Yves BARON - Délégué syndical central - 06-75-80-64-27 / cgtinvivo@yahoo.fr Site Internet - http://cgtinvivo.com